Catégorie : Le Blog

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OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE

A l’image de toutes les nombreuses courses que nous faisons, une généralité se dégage sur un niveau plus global !

Celui de la vie d’un athlète.

LE DÉPART :

Tout fou, débordant d’énergie, des plans d’attaque plein la tête nous nous engageons confiant sur la distance pour laquelle nous nous sommes inscrits.

C’est idem des premiers temps où pour des motifs divers nous avons décidés de nous tenir à une certaine régularité pour la pratique de cette formidable variété de discipline que nous offre l’athlétisme.

    

LA COURSE :

Là où l’incontournable réalité prend le pas sur les théories les plus finement élaborées. Un circuit qui monte plus que prévu ; la forme en dessous de ce qu’elle devrait être ; des pensées négatives qui envahissent le ciboulot. Mais aussi, pas souvent, un petit nuage porteur et les records tombent, l’allégresse gonfle notre thorax prêt à recevoir sa médaille !

 

C’est le temps long des années qui passent remplies d’entrainements d’épreuves sportives que l’on court seul ou avec quelques potes (ouais, la bagarre !). Les petits bobos, ampoule, ongles noirs, entorses, claquage, j’arrête là car ça tourne au gore… Mais également plein de T-shirts et autres colifichets et surtout des souvenirs merveilleux à raconter à la demande.

L’ARRIVÉE :

Toujours content de passer cette ligne, nous allons pouvoir nous calmer et envisager un temps plus tranquille car même le coach il l’a dit : «le repos et la récup font partie de l’entrainement». Et suite au prochain numéro !

         

C’est à ce moment que l’on est bien forcé d’accepter que notre corps est lui aussi sensible à l’obsolescence. Kystes de toutes sortes, ménisques défectueux, arthrose, hernies douloureuses et autres dérèglements organiques internes freinent notre capacité à conserver le rythme de sollicitation physique habituel. Pas d’inquiétude le virus est toujours bien accroché. L’arrêt si il peut être plus fréquent ne sera jamais total.

LA TROISIÈME MI-TEMPS :

Là, pas besoin de deux paragraphes, car cette partie réuni tout le monde. Lieu d’échange où il est nécessaire, sinon obligatoire, de raconter avec exagération nos sorties ; en rajouter sur les difficultés subies, bref continuer à se faire plaisir et partager nos exploits avec, pourquoi pas, Modération et sa kyrielle de timbales.

 

Résultats du challenge 2019

Le challenge 2019 est un grand succès : 2913km parcourus en compétition par 75 athlètes, sur route, en trail, de jour ou de nuit, seul ou par équipe, à côté de chez nous ou au bout du monde !


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et voici le classement définitif : Philippe et Sandrine sont les gagnants !

       
       
   

points placement

1

LOURENCO PHILIPPE

 

66

2

BELEY FRANCIS

 

50

3

LEBIGOT CHRISTOPHE

 

44

4

MARTINEZ RAPHAEL

 

41

5

PARENT CHRISTOPHE

 

39

6

DE ABREU CARLOS

 

36

7

GEOFFROY  SANDRINE

 

35

8

FALLET MICHEL

 

34

8

BONDEAU  HERVE

 

34

10

DENOT SYLVIE

 

31

11

FAUVEAUX ALEXANDRE

 

30

11

MAIRESSE JEAN-BAPTISTE

 

30

11

SAVARY  CHRISTINE

 

30

14

RIBEIRO  EMMANUEL

 

28

15

DUPONT  CLAIRE

 

25

16

AUGENDRE  LAURENCE

 

24

17

NORBERT EDGARD

 

22

18

FREJAFOND ANTONIN

 

20

18

CATTALDO  OLIVIER

 

20

18

DUVAL STEPHANE

 

20

21

ROUBERT  NATHALIE

 

18

21

PERONNET Erika

 

18

21

NAYRAND Nicolas

 

18

24

LABAILLE DAVID

 

17

25

LEFEBVRE  GEOFFREY

 

16

26

POTOT FANNY

 

15

27

SELLIER JEAN-MARC

 

14

28

BELEY HUONG

 

13

29

BEAUSSANT JEROME

 

12

29

GOUCHON  CORINNE

 

12

31

MARCOIN MAXIME

 

10

31

TOLAZZI DAMIEN

 

10

31

DELENCLOS MARGAUX

 

10

31

FREJAFOND Clément

 

10

35

SIMONNOT MAXENCE

 

9

35

VITRAC LAURENT

 

9

35

GENTET MARC

 

9

35

DE OLIVEIRA SERGE

 

9

35

DELENCLOS LUDOVIC

 

9

35

BARREAUD PHILIPPE

 

9

35

LENOIR AURELIE

 

9

35

DIVARET LAURENT

 

9

43

DIAS  VICTOR

 

8

43

COLOMBO  CELINE

 

8

43

PINAULT-LEMONNIER Elea

 

8

43

LESNIAK CATHERINE

 

8

47

GRANGE CHRISTIAN

 

7

47

BOURRIER STEPHANE

 

7

47

LEGER Jean-Michel

 

7

47

DRECQ STEPHANE

 

7

47

PEREIRA DA SILVA JOAO

 

7

52

LEROUGE MYRIAM

 

6

53

HUMBERT MICHEL

 

5

53

LAGREVE THIBAULT

 

5

53

GOLHEN MARIE-FRANCOISE

 

5

53

GUILBERT JEAN

 

5

53

DELENCLOS FLORENCE

 

5

53

SAVARY LAETITIA

 

5

59

BERTAUX LAURENT

 

4

59

LECOQ  FRANCIS

 

4

59

MINEO JEAN-MARC

 

4

59

BESSEY CHRISTINE

 

4

59

GARNIER JULIE

 

4

64

GAGET DELPHINE

 

3

64

SELLIER CATHERINE

 

3

64

PELLETIER ERIC

 

3

64

GARNIER MATHIEU

 

3

68

LECLERCQ EVE

 

2

68

LIBERGE JUSTINE

 

2

68

RAPENNE STEPHANIE

 

2

71

RASOLOFONIAINA FELICIA

 

1

71

DOUARRE MARC

 

1

71

BOYEAU STELLA

 

1

71

PEYROT STEPHANIE

 

1

71

CHOCHOIS DENIS

 

1

 

Mais ce n’est pas fini ! Rendez-vous le 25 janvier où comme promis, le club apportera une contribution financière à ceux qui ont dépensé pour les courses et qui sont présents à l’Assemblée Générale.

 


A bientôt sur les routes et chemins…

 

Marathon du Loch Ness

 

Il est 7H15 et je fais la queue avec un tas d’autres clampins pour embarquer dans les bus qui nous emmèneront pour le départ de la 29ème édition du marathon d’Inverness (Scotland). Le départ est prévu à 10H00… L’organisation assure un max pour être à l’heure ! Les bus partent et longent la rive ouest du fameux Loch Ness, on va pouvoir surveiller les moindres remous d’un Nessie matinal. Mais non rien ! Nous contournons le Loch au sud, à Fort Augustus et traçons encore quelques miles pour nous arrêter en pleine campagne sur les hauteurs de la rive est du Loch. Après les odeurs tenaces de camphre et autres pommades Kivonbien ; dehors l’ambiance humide d’Arthur Conan Doyle dans « les chiens de Basketville » !

Il est 9h00, abandonnés au milieu de la lande écossaise pluie fine et fort vent frais, je patauge jusqu’au chevilles dans la sphaigne et la mousse pour faire les niveaux. Bon sang ça pèle ! Vite fait je remonte dans un bus et me tiens au chaud jusqu’à 9H30. Moi qui voulais un marathon avec enfin une température correcte, je ne peux pas me plaindre…

Il n’y a pas de meneurs d’allure. Des sas temporels très discrets mais présents. Au loin dans la plaine un coup de pétard mouillé et c’est parti ! En descente les 8 premiers kilomètres cela ne cessera plus d’onduler le reste du parcours. Négocier l’allure des descentes et maîtriser l’énergie des montées sera mon occupation favorite de cette course. Tout ça dans un décor fantastique d’une nature très particulière avec des vaches sans yeux, des moutons en pagaille et des gens charmants, qui distribuent des bonbons fait de sucre, de gélatine de porc et de sucre, succulents m’assure-t-on, mais je m’abstiens car je reste sur le haggis (panse de brebis farcie) d’hier soir qui, en terme de réserve énergétique, me conviens parfaitement.

   

J’arrive à Inverness un peu cassé par le dénivelé, mais content de mon 28ème marathon. Une petite caresse à Nessie et après la douche, visite au pub le plus proche pour une enquête des plus passionnantes sur la diversité des breuvages locaux.

    

RESULTS :

1er                KOSGEI         Isaïe             Ecossais        2h29’31

1ère               WHITE          Katie            Ecossaise      2h42’04

956ème          MARATOURISTE                ASFT            3h59’11

3581ème         KIRKALDY      Fiona            USA             8h38’59

Des nouvelles du challenge ASFT 2019 … et 2020

Le dimanche 29 septembre 2019 a eu lieu la course des remparts de Provins, 6 athlètes de Fontenay y ont participé. Bravo pour leur belle performance sur une course pas facile avec ses raidillons légendaires !

6km300 (473 participants)

18km300 (453 participants)

Voici la mise à jour du classement du challenge 2019 :

 

Si vous souhaitez remonter dans le classement, n’hésitez pas à vous inscrire au Trail du Four à Chaux du dimanche 6 octobre 2019 !

 

Sélection des courses pour le challenge 2020 :

Les 12 courses suivantes ont été sélectionnées d’après les résultats du sondage :

L’année 2020 sera une année parisienne : semi, marathon et ekiden de Paris !

La Foulée Impériale est à la même date que le marathon de Paris, pour ceux qui ne feront pas le marathon mais qui veulent mettre à profit la préparation suivie pendant les entraînements.

Le marathon de Paris a eu bien plus de voix que celui de Cheverny ; on retiendra donc Paris pour 2020. Mais en 2021, Cheverny avec son marathon et son trail feront une très belle sortie pour le club, juste 10 ans après la participation de 2011.

Comme jolie sortie au soleil, il y aura Marseille-Cassis en octobre 2020 ; de quoi passer un bon moment sportif et touristique !

Côté Trail, il y a aussi de quoi faire : de l’Ultra avec l’EuskalTrail et du plus abordable avec Pierrefonds, Coulommiers, L’Ourcq et Tourn’en Vert.

Enfin, pour les fondeurs, il y a deux 10km classiques et roulants à Vincennes et Montereau.

 

Voilà pour la sélection de 2020, j’espère que vous y trouverez de quoi vous faire plaisir et vous donner envie de concourir sous les couleurs de l’ASFT !

 

 


A bientôt sur les routes et chemins…

Trail du Bout du Monde 2019

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il y a 2 ans le challenge 2017 s’ouvrait avec le Trail du Bout du Monde et avait vraiment séduit les participants. C’est pourquoi, nous y retournons 2 ans plus tard pour passer de nouveau un weekend inoubliable et dans l’espoir d’améliorer nos performances.


Plus loin à l’Ouest, c’est l’Amérique… Le phare de la pointe Saint-Mathieu veille toujours sur son rocher, entouré des ruines de l’Abbaye et d’un hameau de quelques maisons. L’endroit isolé, au bout du monde, inspire le calme et la sérénité… sauf un weekend par an où tout s’anime pour le Trail !

Comme il y a 2 ans, nous sommes installés au Camping vert de Lanniouarn à Plouarzel ; c’est un des rares établissements qui accepte des locations de chalet à la journée en ce début de saison estivale. On y est vraiment tranquille en pleine nature, près d’un petit étang entouré de vaches et d’hortensias. De plus, ce ne sont pas les voisins qui vont nous déranger, nous sommes les seuls dans les chalets et la caravane la plus proche est à plus de cent mètres.

Un peu de tourisme avant la course, nous permet de visiter la petite ville de Saint-Renan et son marché régional très animé. C’est l’occasion aussi de découvrir « Comme chez Mamie » un bon petit resto qui illumine notre séjour. Si le cadre ne paie pas de mine, tout le reste est de grande qualité. La carte est en fonction des arrivages et le chef a su adapter ses plats à nos préférences : un bon lieu jaune accompagné de Saint-Jacques… un délice ! Nous y retournerons après la course.

Et pour prévenir le stress, quoi de mieux qu’une petite baignade dans l’atlantique ! Direction la plage du Trez Hir à Plougonvelin pour piquer une tête et prendre le soleil sur la plage…


Le dimanche 7 juillet au matin, lever à 5h pour Philippe et moi qui faisons le 57km, nous rejoignons la navette qui nous emmène au départ à PLOUZANE, où Christophe nous attend. Claire, Huong, Laurence, Sandrine et Olivier peuvent dormir une heure de plus puisqu’ils font le 37km.


 

8h : avec les 700 coureurs du 57km (plus les « duo ») nous nous élançons du vélodrome de Plouzané en direction de la mer. A quelques centaines de mètres du départ, nos amis du 37km nous font un petit coucou, ils emprunteront le même chemin 45 minutes plus tard.

Les 10 premiers kilomètres qui permettent de rejoindre la mer se font sur des sentiers forestiers tout à fait semblables à ceux que l’on connait dans notre Brie boisée, quelques talus très pentus ponctuent le parcours et nous forcent à marcher. Arrivés sur la côte, nous empruntons un grand escalier pour rejoindre le sentier côtier sur les hauteurs ; pour économiser mes jambes j’utilise les rambardes et mes bras pour me hisser d’une marche à l’autre. Une fois sur le GR 34, tout change, il n’y a plus d’arbres, le sentier file entre les herbes et les rochers ; ça monte, ça descend sans cesse et des pierres traitresses ou des marches irrégulières surprennent les pas. Philippe en fera les frais dés le 14ème kilomètre avec une chute spectaculaire qui le privera de l’envie de continuer sur sa lancée. Heureusement pour lui, pas de gros bobos hormis des contusions et des égratignures qui le couvrent de la tête aux pieds. Il s’arrêtera intelligemment au 37ème km pour ne pas compromettre sa préparation à la diagonale des fous. De mon côté, c’est mon camel-bak qui me lâche, au bout de quelques kilomètres je sens qu’il se vide petit à petit sur mon dos et mes jambes ; ça a le mérite de me rafraichir mais je n’ai plus de réserve… au premier point d’eau, au moment de le remplir, je constate une belle fuite due à une déchirure : avec les secousses, le bord du gobelet plastique que j’avais dans mon sac a frotté sur la poche à eau, jusqu’à la déchirer… moralité : il ne faut pas entasser trop de chose dans un camel-bak… ce n’est pas un sac à dos comme les autres.

Heureusement, le temps est magnifique et on profite bien du paysage. En face de la côte, on aperçoit Crozon et sa presqu’ile ; on admire le phare du petit minou, la plage de Plougonvelin, le fort de Bertheaume…


Arrivé au 37ème km, c’est Philippe qui m’accueille avec ses encouragements, je comprends vite qu’il a du s’arrêter. Cette course se révèle particulièrement difficile, un coureur sur quatre n’ira pas jusqu’aut bout. En 2017, j’avais beaucoup souffert surtout sur la deuxième partie (après le 37ème km), cette année j’ai couru moins vite le début pour me préserver mais il fait bien plus chaud. Heureusement, au ravitaillement un bénévole me fournit du scotch pour rafistoler mon camel-bak, ça tiendra bien 20km. Après avoir fait le plein et mangé un peu je repars ; je connais le parcours et je sais que les 5 kilomètres qui suivent sont les moins interessants du parcours : c’est un grand faux plat qui nous emmène au Conquet par l’intérieur des terres, à travers champs. Il faut bien tenir moralement et ne pas se mettre à marcher malgré la fatigue. Heureusement ensuite, on reprend le bord de mer : la côte des blancs sablons, la presqu’ile de Kermorvan, la ria du Conquet… et sous le soleil c’est magnifique !



 

C’est magnifique, mais fatiguant… d’autant plus que le parcours a changé depuis 2017 : au lieu de traverser la Ria à marée basse, on fait un détour pour prendre la passerelle ; au lieu de courir sur la plage des blancs sablons (qui par définition est bien plate), on la longe par la côte avec ses montées et descentes. Je comptais améliorer mon chronomètre et je sens que ce sera très très dur malgré le fait que je suis en meilleure forme. Au 50ème km, on aperçoit quelques instants le phare blanc et rouge de la pointe Saint-Mathieu, puis il disparait derrière la côte pour ne réapparaitre qu’à 1 km de l’arrivée. Je tente une accélération mais elle se brise nette sur le dernier raidillon… après la relance, je finirai tout de même en courant ! avec un chrono d’à peine 7 minutes de moins qu’en 2017… Sur le moment, je suis un peu déçu car je pensais faire bien mieux, mais après une petite analyse des statistiques (voir à la fin de cet article) je suis bien rassuré.


 

L’arrivée du trail ressemble à une kermesse… jeux, flonflons et buvettes. Il y a aussi des stands pour le repos du trailer : osthéopathe, reflexologie plantaire, kinésithérapeuthe. Ça fait vraiment du bien de se reconcilier avec ses pieds et ses jambes après plus de 7h de course.

Tout le monde se retrouve réunis pour le repas de fin de course, heureux d’avoir réalisé un des plus beaux trail de France dans les paysages magnifiques de Bretagne. Côté performance, c’est plus mitigé : Claire, Sandrine, Laurence et Huong ont bien tourné pour leur première expérience aussi longue, Olivier finit dans la douleur avec des crampes, Christophe et moi espérions mieux pour notre deuxième participation, mais surtout Philippe n’a pas pu aller au bout…

… il y aura des revanches à prendre… une prochaine fois…


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les photos : http://www.asft-athle.fr/nextcloud/index.php/s/xw6HjrpfRAJL5rk

Résultats du 37 km

Classt

temps réel

Nom

Ville

Vit. Moy.

Cat.

classt / nbre arrivés

1

02:39:13

BUGUELLOU Vincent

AL CARHAIX PLOUGUER

13,9

SEM

0,1%

328

04:25:36

DUPONT Claire

FONTENAY TRESIGNY

8,4

V1F

45,49%

473

04:50:38

GEOFFROY Sandrine

FONTENAY TRESIGNY

7,6

V1F

65,60%

490

04:54:44

AUGENDRE Laurence

FONTENAY TRESIGNY

7,5

V2F

67,96%

496

04:55:56

CATTALDO Olivier

FONTENAY TRESIGNY

7,5

V2M

68,79%

497

04:56:11

BELEY Huong

FONTENAY TRESIGNY

7,5

V2F

68,93%

653

06:16:24

JAOUEN ANTHONY

COURIR A BOURG BLANC

5,9

V1M

90,57%

 


Résultats du 57 km

Classt

temps réel

Nom

Ville

Vit. Moy.

Cat.

classt / nbre arrivés

1

04:04:52

PARISE Jonathan

PAYS DE PAIMPOL ATHLETISME

14,0

SEM

0,2%

113

06:07:53

LEBIGOT Christophe

FONTENAY TRESIGNY

9,3

V1M

18,86%

294

07:13:43

BELEY Francis

FONTENAY TRESIGNY

7,9

V2M

49,08%

455

08:32:25

LEFRANC Jerome

BASSE GOULAINE (44115)

6,7

V1M

75,96%

 

DNF

LOURENCO Philippe

FONTENAY TRESIGNY

  

V1M

100,00%

 


 

Est-ce que le Bout du Monde 2019 était plus difficile que le 2017 ? si oui pourquoi ?

Evidemment quand tout ne se passe pas comme prévu, il est important de savoir pourquoi. Christophe et moi nous sommes un peu déçus de notre performance 2019 par rapport à 2017. Pourtant nous avons eu l’impression de mieux tourner… est-ce que le Bout du Monde 2019 était plus difficile que le 2017 ?


 

 

Les deux graphes précédents montrent l’évolution du pourcentage de coureurs arrivés fonction de la durée de course pour le 37km à gauche et le 57km à droite. Il y a la superposition des courbe de 2017 et de 2019. On constate par exemple que sur le 57km en 2017 50% des coureurs ayant terminé le trail l’ont fait en un peu plus de 6:10:00, alors qu’en 2019 la même proportion de coureur a mis 23 minutes de plus ! Sur le 37 km l’écart est de 6 minutes. On peut supposer que la population des coureurs de 2017 est équivalente en niveau à celle de 2019, donc cet écart est à rechercher sur les conditions de course.

Il y a plusieurs facteurs qui ont pu influencer ce résultat :

  • La température était de 16°C au départ en 2017 et 2019 (d’après Garmin), par contre en 2017 le ciel était couvert alors que cette année, il a fait un grand soleil avec quelques degrés de plus qui ont fait souffrir les coureurs à 6 minutes sur 37km, 9 minutes sur 57km
  • En 2017, ma montre relevait 55.8 km alors qu’en 2019, elle a enregistré 57.0km à 1.2 km à 7min/km soit un peu plus de 8 minutes
  • Le tracé du 20 km a changé, le passage sur la plage bien plate des blancs sablons (2 km) a été remplacé par un passage sur le sentier côtier plus difficile et plus long à 2 à 3 minutes

Au final, on retrouve un écart d’environ 20 minutes qui correspond à ce que disent les chiffres… le trail de 2019 était un peu plus difficile que celui de 2017.

 

 


A bientôt sur les routes et chemins…